Médias
Monsieur le Président, le coup de cœur de Marie-Claude Veilleux, Ici Radio-Canada Première Estrie.
Une histoire dramatique racontée avec une telle finesse, un tel humour, (…) l’auteure a une plume incroyable, 147 délicieuses pages, une bonne histoire, des personnages auxquels on s’attache, une histoire bien ficelée, je vous le recommande
Monsieur le Président
Nuit blanche
Le 3 mai 2021
Voici un intéressant roman où la narratrice Léa, femme de ménage de sa fonction, « porte un regard à la fois naïf et frondeur » (quatrième de couverture) sur les profonds changements survenus à la compagnie montréalaise Kaffa, une entreprise réputée de fabrication de cafetières.
(…)
C’est dans une langue simple, fluente et élégante que la narratrice accumule les nombreuses péripéties de cette aventure s’étendant sur une dizaine d’années. On note non seulement une récurrente et souple note humoristique, mais encore une pléthore de ces « petits faits vrais » chers à Stendhal, en plus de comparaisons inattendues (« un type […] épais et lourd comme [d]es gâteaux aux fruits »), d’une significative synesthésie (« entend[re] le clin d’œil complice d’Émile »), d’une disposition stimulante des chapitres…
Jean-Guy Hudon
Par ici l’info, Radio-Canada
Le 22 décembre 2020
Monsieur le Président, le coup de cœur de Marie-Claude Veilleux, Ici Radio-Canada Première Estrie.
« Une histoire dramatique racontée avec une telle finesse, un tel humour, (…) l’auteure a une plume incroyable » (…) « 147 délicieuses pages, une bonne histoire, des personnages auxquels on s’attache, une histoire bien ficelée, je vous le recommande »
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Journal de Montréal
Le 5 décembre 2020
Il est grand le sentiment de trahison quand l’entreprise qu’on considérait comme une famille vous chasse. Léa est bien placée pour le savoir. (…) Un suspense psychologique qui fait tourner les pages, bien porté par une Léa qui se promène entre candeur et amertume. De quoi faire réfléchir.
José Boileau
Les mille et un livres
Le 28 novembre 2020
Un énorme coup de cœur pour la plume de Danielle Pouliot qui fait résonner son récit dans le concret et le réalisme de la florissante réussite financière au dépit des humains. Je vous le recommande à 110 %.
Martine Lévesque
Le Canada français – Actualité
Le 19 novembre 2020
« Danielle Pouliot connaît sûrement très bien la nature humaine et sait faire bon usage des fibres les plus ténues pour bâtir sa fiction narrative. Ainsi, l’ironie permet à Léa de mettre en équilibre sa naïveté et son manque de confiance en elle-même. D’un épisode à l’autre, elle se découvre des talents qu’elle ignorait et elle retrouve la foi en elle-même. En ces temps de morosité collective, la lecture de Monsieur le Président a quelque chose de rassérénant. »
24 h Montréal
Danielle Pouliot plonge son lecteur dans un feuilleton psychologique enlevant avec ce nouveau roman. Léa, une orpheline qui a grandi dans un contexte spécial, s’est trouvé un emploi chez Kaffa, une entreprise de cafetière. Pour elle, cet endroit et ses collègues c’est sa famille. Sa vie sera cependant chamboulée quand elle sera brutalement congédiée.
Léa Papineau Robichaud
L’Aut’JOURNAL au jour le jour
Le 18 novembre 2020
Roman sur la quête de soi, Monsieur le Président (Sémaphore, 2020) de Danielle Pouliot explore le courage d’une femme dans un monde professionnel déshumanisant. Dans son cinquième ouvrage, l’écrivaine, qui a notamment travaillé comme criminologue à l’Institut Philippe-Pinel et directrice aux communications dans divers organismes dont le Cirque du Soleil, s’inspire de réalités qu’elle a côtoyées ou observées. Au bout du fil, elle raconte que la « première pulsion créatrice » de sa plus récente œuvre lui est venue de l’affaire France Télécom, un scandale connu aussi sous le nom d’affaire des suicides.
Olivier Dumas
René Cochaux
Monsieur le Président, un livre grand public sur la déconstruction d’une entreprise familiale et la douce vengeance, ce plat qui se mange froid. Écoutez ce qu’en raconte Tania Viens à René Cochaux.
Denis Morin, auteur et blogueur
Le 8 novembre 2020
À peine lu, à peine encore sonné par le roman percutant Monsieur le Président de la romancière Danielle Pouliot publié en 2020 aux Éditions Sémaphore… J’ai fait la connaissance de Léa, orpheline, ayant grandi chez sa tante Anita, devenue préposée à l’entretien ménager chez Kaffa, une entreprise de cafetières design.
Dans ce haut lieu créatif créé par Émile le Magnifique, elle croyait y avait trouvé une famille, jusqu’au jour où le fondateur vende au Président parvenu obnubilé par le profit et son pouvoir. Ce sera la descente aux enfers pour le personnel. Toutes les trahisons seront permises dans cet échiquier où les plus retors et les pervers narcissiques conserveront leur emploi. Léa perdra le sien. Elle tentera de se reconstruire, ayant l’estime d’elle-même dans les talons.
Puis, elle dénichera un nouvel emploi, grâce à son chat qui se sera esquivé de l’appartement. Tout est providentiel comme ces retrouvailles avec le Président jadis musclé et tiré à quatre épingles devenu patient dans une résidence de luxe pour malades ayant perdu leur autonomie. Tout en époussetant et en frottant un miroir, elle lui raconte comment elle s’est sentie trahie. Lui, branché, écoute, semble même prendre du mieux, momentanément. Elle s’interroge sur le moyen de se venger…
Pour savoir comment elle aura le dernier mot, je vous invite à lire ce très beau roman dont l’écriture précise me fait penser à celle de Mireille Gagné dans Le syndrome de Takotsubo, recueil de nouvelles publié aussi par la même maison. Il y a des parentés stylistiques dans le monde des lettres.
J’ai noté que les personnes les plus intéressantes à fréquenter étaient les employés au bas de l’échelle qui sont dotés bien souvent d’un sens fin de l’observation sur la nature humaine.
Une très belle lecture que je vous recommande à mon tour.
Une peur démesurée, un amour démesuré, un déni démesuré : ces thèmes extrêmes, c’est pourtant avec finesse et sobriété que Danielle Pouliot les raconte dans Lettre à Justine, son troisième ouvrage de fiction.
Lettre à Justine
La Presse
Lettre à Justine : finesse et sobriété
Le 1 février 2011
Une peur démesurée, un amour démesuré, un déni démesuré : ces thèmes extrêmes, c’est pourtant avec finesse et sobriété que Danielle Pouliot les raconte dans Lettre à Justine, son troisième ouvrage de fiction.
Car ce n’est pas tout de décrire une phobie et ses conséquences : encore faut-il en faire ressentir au lecteur toute la charge de désarroi quotidien, et c’est ce que Danielle Pouliot réussit avec son personnage d’Olivier, jeune homme qui a une peur maladive de l’eau.
Mais aussi peur d’une certaine réalité. Confronté à une peine d’amour trop grande pour lui, conservant un frêle équilibre grâce à son emploi dans une modeste boutique d’épices, Olivier soliloque en quête de sa Justine en allée, de Montréal à Rivière-Éternité, entre aromates et délire.
Avec ses accents parfois poétiques, parfois tragiques, ce court roman parvient à éviter le piège du pathétique et se lit… comme une lettre.
* * * 1/2
Le chat
Radio-Canada
Dans la bibliothèque de Paul Ouellet, à la radio de Radio-Canada
Émission du 26 septembre 2011
Verbatim d’une partie de l’entrevue
« C’est un beau roman (…). Une histoire très contemporaine. C’est une jeune femme qui vit à Montréal, sur le Plateau Mont-Royal qui s’appelle Viviane. Elle est lampiste, donc elle fabrique des lampes, elle vend des lampes, des abat-jours dans une petite boutique. C’est la vie de cette femme-là, d’une trentaine d’années. Malheureuse en amour parce que son amoureux l’a quittée de façon assez brutale, alors elle s’en remet très difficilement. (…)
C’est un roman très sensible, bien écrit, j’ai beaucoup aimé ça. Un roman de pardon également, parce que cette femme-là va pardonner à son père parce justement elle va connaitre certaines circonstances.
Vous allez me poser la question pourquoi ça s’appelle Le chat? Je ne vous le dirai pas, parce que le chat, l’animal a un rôle important à jouer là-dedans et si je le dis, je vais voler le punch.
Un très beau roman à lire, c’est bien écrit également. »
Institut Philippe-Pinel : 50 ans d’histoires
L’association canadienne de justice pénale
Le 2 février 2015
L’Institut Philippe-Pinel de Montréal fait souvent la une des journaux. Valery Fabrikant, qui a assassiné quatre personnes à l’Université Concordia; Karla Homolka, accusée du meurtre de deux adolescentes ontariennes; et Guy Turcotte, qui a tué ses deux enfants, y ont notamment séjourné.
Mais l’hôpital psychiatrique est aussi un milieu d’enseignement et de recherche dynamique, un modèle en son genre. «Nous voulons faire les manchettes mais pour des raisons plus positives», commente le psychiatre Frédéric Millaud, coauteur d’un livre sur l’histoire de l’établissement affilié à l’Université de Montréal qui paraît en cette année du cinquantenaire de l’établissement.